Dans la pénombre d’une ruelle
Une pauvre cherche sommeil
Les griffes de l’hiver lui gèle la chair
Mais son manteau ne les tient pas en arrière
La neige commence à tout recouvrir
Et si elle ne se chauffe pas elle va mourir
Alors qu’elle va succomber à l’ennemi mortel
Une puissante poigne la réveil
Elle se fait tirer en arrière
Croyant ne pas avoir à faire à un adversaire
Elle lui fait sont plus beau sourire
L’étranger ailé et la femme sans vont sans frémir
Au matin, dans la petite ruelle
On découvre la pauvre au sourire éternelle.