Réflexion

voici une réflexion que j'ai faite il y a environ 4 ou 5 mois... je l'avais oublier et perdu dans mon ordi.... alors le voici pour vous en rappel (jamais personne ne l'a lu au par-avant et oui Julie je sais que certain passage sont à caractère mégalomane mais que veut tu j'y peut rien)

Suis je complètement stupide ou je ne peut voir vraiment ce que je veux? Je veut être écrivain pas autre chose. Bien sur il serait plaisant d’être forgeron mais… Je veut aussi être forgeron que je veut être écrivain. Si je peut combiner les deux ensemble il en serait des plus agréable. Je peut combiner les deux ensemble mais il faudra que je travail bien plus fort encore. Je peut le faire, je suis capable de tout. Tout ce que je met à terme s’avère être un succès. De plus, si je le veut je le ferai. Rien ni personne ne pourra jamais m’en empêcher. Je ferai toujours comme il m’en fera plaisir. Je suis ainsi. Dieu soit loué de m’avoir offert la liberté. Dieu soit loué de m’avoir permit de comprendre mes rêve. Cependant, j’ai maintenant besoin d’appuis, de soutien. Est-ce que quelqu’un est dans la position de m’offrir ce soutien dont je fait mention? J’en doute fort. J’ai besoin d’aide pour me sortir de cet incessant dilemme qui se colle à mon esprit comme un vulgaire parasite, phagocytant près de mes idéologies et de mes convictions. J’en demande l’aide au plus grand des chercheurs. Ce chercheur est en moi. Seulement, vais-je le trouver un jour? Je n’en sais rien. Je sais, par contre, que je vais être un des meilleurs écrivain et forgeron qu’il y ai jamais eu sur terre, et ce depuis le début des temps. Il faudra un certain temps avant que je ne soit reconnue entièrement pour mes œuvres. Je suis près à attendre des millénaires s’il le faut. Je serai célèbre bien avant ma mort mais ne serai riche qu’après. Ce sera ceux qui ne croit pas en moi pour l’instant qui en profiteront dans le future. Je sais qu’ils en feront très bon usage de toutes cette richesse, mais jamais ne pourront en profiter à sa juste valeur. Moi, ma richesse, au moment de ma mort, aura été de savoir que j’ai rendu le sourire aux femmes et aux enfants ainsi qu’aux gens qui n’ont pas toujours la chance d’avoir des livres pour s’instruire. Je leur donnerai cette chance de mon vivant, mais pour l’instant je ne me consacrerai à rien d’autre qu’à mon écriture. Lorsque j’aurai finit mon tout premier livre, je pourrai prouver au monde entier que nul n’a besoin d’éducation stricte pour réussir, mais qu’un bon encadrement pédagogique favorisant l’écoute de reportage, la lecture de livre et l’étude sur le terrain peut très bien faire toute la différence. De plus, par ce procédé, les gens sortent de « l’école » avec une bien plus grande connaissance de la vie et de son fonctionnement qu’avec une éducation standard.