Le soleil embrasa de passion l’horizon,
Embrassant du regard les courbes des rives
Caresser par les fougueuses vagues
Et disparue peu à peu dans elle
Déjà la dame blanche dansait dans le firmament
D’une grâce et d’une beauté inégalable
Qu’aucune étoile ne pouvait approcher mais désiré seulement
Soudain un nuage courageux s’avança vers elle
La prenant dans ces bras vaporeux et la cachant aux autres
Celle-ci se débattit et de son étreinte et le repoussa loin d’elle
Honteux et vaincue, il s’en alla et de nouveaux la lune dansa
Mais lorsque 6h sonna, sa douce noirceur perdit de sa force
Devenant faible et a chaque seconde davantage fragile
Elle pue voir avant son dernier souffle le visage lumineux de son assassin
Celui qu’il l’avait achevé pour sur le ciel régné
Le soleil dans toute sa splendeur