Toi l’elfe maudit
Frappé de la marque,
Celle des bannis,
Jamais plus tu ne brandiras ton arc.
Car l’épée t’a été donnée,
Sous le ciel de minuit,
Ténèbre et demeure des bannis,
Par une démone tant redoutée,
Qui comme l’araignée,
Sait tisser le mal qui ne cesse de te ronger.
Ta peau si claire est devenue noirâtre,
Mais dans ta chevelure d’ébène
La lune y a mis ses éclats.
Ce qui nous rappelle
Que tous tes meurtres
Ne viennent pas de toi,
Mais bien du mal qui t’a possédé
Alors que de nous, ton regard s’avait détourné.
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Hyper hyper hyper vieux poème
ca devrait justifier plusieurs choses...