Pour lui il était tout à fait normal de tuer. Robal était un des assassins les plus recherché de Lormak. Sa victime allait être un gros marchand dans la cinquantaine, il s’était attiré les mauvaises grâce du roi et il devait maintenant mourir. L’homme habitait dans une grosse maison au centre de la ville, il vivait seul mais plusieurs ragots circulaient disant qu’il avait enfanter de nombreuses esclaves. Robal s’approcha de la maison et entreprit d’escalader les murs couverts de vigne, à mi-hauteur il entendit les râlements de plaisirs qui appartenait sûrement à l’esclave de service cette nuit-là. Il continua à monter et rendu à la fenêtre il regarda la scène. Sous les rayons de la lune ont pouvait apercevoir les courbes douce et fines de l’esclave. Décider à ne pas reculez, il ouvrit discrètement la fenêtre et entra. Sans un bruit, il se glissa jusqu’aux lit et sortant son poignard il égorgea le marchand. L’esclave prit de terreur se mit à crier comme une démone et sortit de la pièce, ameuté par les cris plusieurs serviteurs entrèrent dans la pièce et virent une ombre passé par la fenêtre. Robal eut la présence d’esprit de s’accrocher dans les vignes pour s’arrêter dans sa chute, ce geste lui sauva certainement la vie.. Il couru se cacher dans une auberge et attendit une semaine avant d’aller chercher sa récompense tant espérer et voulu. Arrivé au palais, il demanda une audience avec le roi pour avoir sa récompense et il lui fallu patienté plusieurs heures avant de pouvoir s’entretenir avec le roi mais les gardes le menait à travers les pièces et ne le menait pas à la salle royales. Quand il se rendit compte de la supercherie, il était trop tard. Robal le plus grand des assassins finit une épée dans le cœur.